Des études démontrent que les chances que des relations sexuelles se produisent entre un(e) infirmière/infirmier et un(e) patient(e) peuvent être plus élevées dans des milieux où le personnel infirmier prodigue des soins et interagit avec les patients sur des périodes prolongées. Bien que certains patients, surtout les patients vulnérables, puissent présenter un risque plus élevé de mauvais traitements d’ordre sexuel, tous les patients sont vulnérables et sont des victimes potentielles.